Cette belle formule de Jacques Gagliardi ("Le roman de la peinture moderne", Hazan), résume la trajectoire météoritique de Van Gogh (1853-1890).
J'ai déjà consacré une présentation à ce peintre si attachant, dans ses relations avec Gauguin (qui, lui, n'est pas si attachant que çà). Cette présentation peut se trouver ici.
Dans l'exposé qui suit, je vais essayer de décrypter la trajectoire de son parcours météoritique. Il est évidemment difficile de faire original sur un sujet pareil, car tant de choses ont été écrites sur Van Gogh.
Mais je ne crois pas qu'il soit si facile que cela à appréhender. En tout cas j'ai eu, personnellement, un peu de mal. Et d'ailleurs je me suis limité, dans ce qui va suivre, à présenter et tenter d'analyser des paysages. J'ai évité les natures mortes et surtout les portraits qui à mon avis, sont encore plus difficiles d'accès.
Mon propos donc, est de faire partager mes interprétations "d'amateur" (c'est à dire de quelqu'un qui aime), à propos de ce génie très singulier.
La présentation: Van gogh 2 (4.85 Mo)